L'horoscope, ou le Dieu caché derrière la Lune

Il n'en a plus pour longtemps, Georges.

Je parle par exemple du Dieu qui se cache derrière la Lune, grâce aux diseurs diseuses d'horoscopes.

Que la Lune rythme une part de la vie terrestre, personne sur terre ne l'ignore, à moins de n'être pas une femme et de n'avoir jamais entendu parler du mois de la femme, ou du temps ou du rythme de la femme.

On parle aussi du rythme lunaire concernant les semences, mais comme notre science n'en veut rien étudier, j'en suis moins certain, me voyant complètement tributaire en la matière de ce qui nous en revient, confusément et le plus souvent indirectement, depuis le monde paysan.

Mais donc notre fameuse science n'a progressé strictement en rien pour chercher à comprendre de quelle façon la Lune peut ainsi régler le rythme biologique féminin. Les Anciens sur ce plan encore auraient été bien plus avancés qu'il ne faudrait absolument pas en être surpris.

Ce silence des scientifiques est objectivement complice des agissements de l'Invisible par le truchement des horoscopes, ouvrant en grand la porte à toutes les autres foutaises, en gros toutes les formes de voyance, de magie, de prophéties et de miracles ou autres prodiges.

Des Lois de l'Univers et des lois de la Nature, je suppose que tous les scientifiques savent qu'il y en a, n'est-ce pas? Je suis en droit de supposer que tous savent de quoi je parle, n'est-ce pas?

Alors partons de là:

Sauf à affirmer, de façon tout à fait gratuite, autoritariste et irrationnelle - un pas qu'aucun scientifique digne ce nom ne se risquerait à franchir, n'est-ce pas? - que l'ensemble des phénomènes intervenant dans notre réel, et autrement que par pur hasard, relèvent des lois de l'Univers et de la Nature, aucun scientifique ne devrait ne pas étudier d'une part les phénomènes réels régis par les Lois, et d'autre part, à l'autre bout, les phénomènes réels échappant aux mêmes Lois. Sans quoi il manque à la Connaissance l'essentiel, ce qui remet toute la Science en cause: voilà ce à quoi un vrai scientifique ne peut pas et ne doit pas se résigner.

Pour simplifier, laissons de côté ici le réel qui serait complètement inconnu et inconnaissable, domaine que nous pouvons sans problème laisser typiquement à la Philosophie, non plus vraiment à la Science stricto sensu.

Parlant ici strictement du réel, laissons encore de côté le champ de la théorie, ainsi que le problème des limites de la théorie, et celui de son caractère légitime, voire scientifique, ou illégitime, voire anti-scientifique.

La Science et la Technique ont permis d'aller sur la Lune.
Et sur la Lune nous avons vu quoi et nous avons appris quoi?

Si la Science avait fait son travail, elle aurait débusqué depuis longtemps, depuis la Terre, le Dieu caché derrière la Lune.

Un Dieu caché derrière la Lune, se peut-il un Dieu plus con, Georges?

Vous voyez le tableau: serait-ce Dieu-là, vraiment, qui aurait vraiment fait les Lois de l'Univers et de la Nature?

Et donc, nul doute, Dame la Lune aurait été faite pour lui permettre de se cacher?

Mais dîtes-moi, vous ne le voyez toujours pas? Personne ne le voit, quand personne ne devrait pouvoir ne pas le voir?

J'ai presque trouvé, à l'instant, comment le rythme lunaire peut déterminer le rythme féminin, en relisant ce que j'avais écrit en phusis, Grec bleu page 14.

Je n'ai pas trouvé, bien sûr, le mécanisme, mais le principe général.

J'avais dit, en phusis, que dés la première cellule vivante la sensibilité est là, et qu'il fallait accepter l'idée de sensibilité dès le monde végétal.

Je suis très fier, car avec les plantes, je suis nul, n'ayant pas du tout la main verte, et pensant que par amour pour mon jardin il vaut mieux que je n'en aie pas.

J'avais ensuite dit qu'il fallait accepter d'étudier la possibilité d'un lien, voire d'une identité, entre sensibilité végétale et synthèse chlorophyllienne.

Or en revenant à Dame la Lune, l'on s'aperçoit que ce que l'on appelle son mois, ou son calendrier, consiste uniquement en la façon dont elle nous renvoie la lumière du soleil.

On met donc le doigt sur un phénomène voisin de la synthèse chlorophyllienne agissant sur le corps féminin et probablement déjà sur les plantes, comme semblent en témoigner ceux qui cultivent les plantes.

Il y aurait un phénomène, donc, ultra sensible, car utilisant une infime énergie lumineuse, tellement fin qu'il ne pourrait agir que la nuit, quand la lumière du jour n'est plus là, fonctionnant selon le rythme lunaire puisque seule la lune peut nous renvoyer la nuit cette lumière venue du soleil.

Reste à savoir ensuite si le fait de la réfraction de la lumière du soleil par la lune intervient également.

J'ai presque trouvé, à l'instant, comment le rythme lunaire peut déterminer le rythme féminin, en relisant ce que j'avais écrit en phusis, Grec bleu page 14.

Je n'ai pas trouvé, bien sûr, le mécanisme, mais le principe général.

J'avais dit, en phusis, que dés la première cellule vivante la sensibilité est là, et qu'il fallait accepter l'idée de sensibilité dès le monde végétal.

Je suis très fier, car avec les plantes, je suis nul, n'ayant pas du tout la main verte, et pensant que par amour pour mon jardin il vaut mieux que je n'en aie pas.

J'avais ensuite dit qu'il fallait accepter d'étudier la possibilité d'un lien, voire d'une identité, entre sensibilité végétale et synthèse chlorophyllienne.

Or en revenant à Dame la Lune, l'on s'aperçoit que ce que l'on appelle son mois, ou son calendrier, consiste uniquement en la façon dont elle nous renvoie la lumière du soleil.

On met donc le doigt sur un phénomène voisin de la synthèse chlorophyllienne agissant sur le corps féminin et probablement déjà sur les plantes, comme semblent en témoigner ceux qui cultivent les plantes.

Il y aurait un phénomène, donc, ultra sensible, car utilisant une infime énergie lumineuse, tellement fin qu'il ne pourrait agir que la nuit, quand la lumière du jour n'est plus là, fonctionnant selon le rythme lunaire puisque seule la lune peut nous renvoyer la nuit cette lumière venue du soleil.

Reste à savoir ensuite si le fait de la réfraction [mot que je ne suis pas sûr d'utiliser correctement ici] de la lumière du soleil par la lune intervient également.

Attention: je n'envisage dans le post précédent les interactions utilisant ces lumières ultrafines que comme un phénomène presque végétal, si l'on veut, où l'esprit n'intervient absolument pas de façon active. Inutile, donc, de chercher à regarder quelqu'un en essayant de lui faire ressentir ceci ou cela. C'est l'Invisible qui joue avec ça et qui vous leurre, ne soyez pas idiots. Par contre, on effleure enfin en physique le lien esprit matière: voilà ce qui est intéressant de chercher à creuser. Ce qui peut encore intéresser ici la physique, c'est le rôle de l'oeil comme point d'inversion, s'il se confirmait que l'action de ces lumières ultrafines allait dans les deux sens. Du coup, on aurait une chance de mieux comprendre la nature de la lumière, et d'explorer aussi mon hypothèse de l'atome comme point d'inversion ente l'univers où nous évoluons et un univers d'une autre dimension de l'autre côté. Il n'est pas impossible que les physiciens aient déjà entrevu des choses qui sont en réalité déjà de l'autre côté. Ils butteraient en fait, si mon hypothèse et valable, sur une difficulté insurmontable tant qu'ils n'envisagent pas l'atome comme point d'inversion. Je rappelle que l'atome demeure purement théorique dans la mesure où nous n'avons toujours pas identifié, pour aucun élément, la plus petite unité de matière dont les propriétés physiques sont en tous points identiques aux plus grosses quantités de matière que nous connaissons. C'est très étrange, puisque d'une autre manière notre physique va déjà plus loin que l'atome: quelque chose n'est pas du tout logique, et dans ce cas il nous faut envisager que quelque chose d'essentiel nous échappe encore complètement. Raisonnement pur, mais cela ne prouve pas qu'il ne soit pas bon, ou alors il faut me dire pourquoi.